raconte moi ton histoire

16 juillet 1985. Quelle est cette date? Eh bien… c’est l’été, les fleurs, le soleil, le bronzage, la plage et la piscine? Oui, mais en fait, c’est la date de ma naissance. Celle où m’a mère m’a donné naissance, bien sûr. J’étais le premier enfant de mes parents, et le dernier également, ce qui signifie que j’ai toujours été enfant unique, ce qui n’est pas pour me déplaire. Ma mère a toujours été une super femme à mes yeux. Elle s’occupait très bien de moi, tout comme mon père même si celui-ci était légèrement moins présent. Malgré qu’elle travaillait fort dans son domaine, elle faisait son possible pour rendre ma vie simple et aisée en me rendant heureux également, comme devait l’être un petit garçon. Ma mère faisait tout cela pour moi-même si elle et mon père se sont divorcés alors que je n’étais âgé que d’un an. Eh oui, mon père a été infidèle, et le divorce entre eux a été prononcé très rapidement. Ma mère essayait de ne pas me montrer sa peine, mais je savais bien, du moins lorsque je fus plus vieux, qu’elle était triste de ce divorce : elle avait toujours été follement amoureuse de mon père.

Moi cependant, avec les années, la préadolescence et puis l’adolescence, j’ai décidé de vivre entièrement avec mon père. Ma mère fut peinée, mais elle comprit rapidement. De toute manière, son métier la faisait déménager fréquemment depuis quelques années, et elle était au courant que j’en avais marre de toujours devoir quitter ce qui m’entourait pour la suivre. En effet, à l’adolescence, je commençais à me faire un «nom» autour de moi, avec mon groupe d’amis, et ça m’enrageait de devoir toujours quitter la popularité que je commençais à me faire. C’est pourquoi donc j’allai habiter chez mon père. Là-bas, à Sydney, je recommençais à me faire une popularité bien ancrée à la place, surtout grâce à ma belle gueule, l’argent de mon père que je pouvais et peux toujours utiliser à ma guise sans compter. Les autres gars de mon groupe et moi allions toujours profiter des nombreux partys qui s’offraient à nous dès l’âge de 16 ans, et les filles commençaient bien sûr à nous tourner autour sans retenue. Nous avions parfois, et même très souvent, l’occasion d’en attirer une jusqu’à notre lit. Nos talents de drague étaient très développés. De toute manière, nous n’avions pas grand-chose à faire, puisque notre jolie gueule faisait déjà tout le travail.

Au fil du temps, je rencontrai finalement la femme avec qui mon père avait trompé ma mère, sa propre femme, ou plutôt maintenant ex-femme. Elle se nommait Laura, et était mère de deux filles. Camillia, qui était légèrement plus jeune que moi et la petite sœur de celle-ci, Jordan. Laura et mon père ne se sont jamais mariés, profitant simplement du lit pour coucher ensemble à leur guise. Ils se voyaient souvent, à vrai dire, mais je n’ai jamais eu l’occasion de rencontrer Camillia et Jordan avant que j’aie atteint l’âge très récent de 26 ans. Cela fait donc environ un an que nous nous connaissons. Sa petite sœur Jordan devenue plus vieille, j’aime bien passer du temps avec celle-ci. Jordan est sur la limite de l’âge adulte, et j’aime bien l’emmener dans différentes soirées, ce que sa sœur «Lia» n’apprécie pas du tout. Elle trouve que j’ai mauvaise influence sur sa petite sœur adorée. Pourtant, je m’amuse toujours et encore à provoquer l’aînée en traînant la plus jeune dans des partys où je vais souvent moi-même. C’est plutôt amusant, à vrai dire. Cependant, je fais bien attention à elle et prend garde à la protéger si jamais il lui arrivait quelque chose. Sinon, pour ne rien cacher par rapport à Camillia, c’est une fille complètement canon. Dès le premier instant où je l’ai vue, je dois avouer que j’ai eu la forte envie qu’elle termine dans mon lit comme toutes les autres filles que je rencontrais. Cette envie augmente constamment. Pourquoi? Parce qu’elle s’amuse également de son côté à faire la jolie jeune farouche qui me repousse tout le temps, et cela me rend dingue. Mais je sais que je veux qu’elle termine dans mon lit, et elle s’y retrouvera bien un jour ou l’autre. Reste plus qu’à trouver de quelle façon, et le tour est joué…